La Seravenne

Essentiellement... humaine !

La Seravenne, essentiellement humaine

Préambule

Préambule Un dimanche, en avril 2017, je passe à Breuil le Vert devant le moulin de la Seravenne que j’avais déjà remarqué, et je vois un panneau “à vendre”. J’ai appelé dès l’ouverture l’agence et j’apprends qu’un compromis de vente venait juste d’être signé. Curieusement, cela m’a empêché de dormir quelques nuits. Et puis je repassais par là de temps en temps, histoire de faire mon deuil, et en octobre… je revois un panneau de mise en vente.

Carte postales de la Seravenne

Voici le moulin originel, probablement au début du XXème siècle. La porte et la fenêtre de la cuisine n’ont pas bougé, ni l’escalier qui descend à la rivière. Des gens posent discrètement sur le pont qui semble ne pas avoir évolué. Qu’est devenue la petite fille endimanchée, en bas à gauche ? Ambiance guinguette et vélo… nous sommes en amont du moulin que l’on devine sous le timbre. Le bras de la Brèche qui part vers la droite va alimenter le « petit moulin’.

La Seravenne dans son jus

Quelques images de la Seravenne “Dans son jus”. Jusqu’en 2017, ce tableau électrique assurant l’alimentation de la bâtisse. Il était possible de basculer les différents circuits (éclairage, prises, cahaudière électrique, petit-moulin et potager) sur le réseau ou bien sur la turbine.